PRESS AND EDITION : Presentation by chronological order
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EXPOSITION 1997 : Viewing - Musée d'art et d'histoire de Saint-Denis | ||
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EXPOSITION 2004: Only - Cordoue ESPAGNE |
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EXPOSITION 2006 : Réflexions- Galerie Formato Comodo - Madrid - ESPAGNE |
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EXPOSITION 2005: Tac -Cordoue ESPAGNE
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EXPOSITION 2006: Naufragios - Casa cultura - Almodovar del Rio - ESPAGNE
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EXPOSITION 2007: catalogue d'exposition de la galerie Carmen del Campo - Cordoue - ESPAGNE
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2009 - REVUE COMMUNICATION INTERNE AREVA
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EXPOSITION 2009 : Liminal - Galerie WilsonStreet - Sydney AUSTRALIE
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CRITIQUE D'ART - Laura Pia- from the Look magazine at the Art Gallery Society of NSW
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Juin 2011 - Les 100 ans de Gallimard - article de Presse Thierry Clermont - LE FIGARO
EXPOSITION 2011 : Réinvestir la planète - au Centre d'art de Levallois - dossier de presse et ci-dessous article n°72 Art Actuel janvier février 2011 |
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Article Télérama été 2011 à propos de l'exposition MATRICE 2011- Larcade gallery https://www.artistikrezo.com/agenda/matrice-galerie-larcade.html Texte de François Terrier
On pourrait qualifier les uvres de Laure Molina de « photographies sculptées » car le support de luvre se mue en rectangle accentuant limpression de profondeur et suggérant une absence de cadre. Larbre, quil soit chêne de la forêt ou platane des villes, semble étendre hardiment ses branches multiples en dépit de lespace fini délimité par le support même de luvre. Bien plus quun symbole de la Nature, larbre devient la référence de nos racines familiales. Linformation nest en rien anecdotique ; elle renvoie aux précédents travaux de Laure Molina (2004-2007). Pendant trois ans, elle exécuta une série de peintures et photographies dévoilant ses réflexions sur lidentité, les relations avec autrui et lunivers. Ses uvres aujourdhui exposées à la Galerie Larcade semblent résumer sa pensée. Un détail frappe lil du spectateur ; la présence au sein de ce support devenu objet quadrangulaire dun alignement régulier de compact discs. Bien plus quune décoration, ce poncif est désormais une nouvelle source de lumière donnant du relief au sujet, le rehaussant dune lumière à la fois chatoyante et douce. La lumière : faudrait-il sétonner quelle soit une quête majeure pour une praticienne expérimentée comme Laure Molina ? Notre artiste sinscrit dans cette lignée instaurée par les peintres aux aurores de la Renaissance et dont les photographes semblent en être les lointains descendants. Nos propos seraient vains sans la présence dune ultime uvre troublante pour les sens. En arpentant le sous-sol, le visiteur regarde ébahi son ombre colorée projetée sur la toile dune blancheur immaculée. Ce prodige trouve sa source dans cet assemblage de néons aux couleurs vives. Cette fantaisie de lartiste se rapproche paradoxalement des recherches des maîtres-verriers de nos cathédrales sans oublier les travaux de Newton et les spéculations de Goethe (Traité des couleurs). Labbé Suger (1081-1151) exprime clairement dans son traité Ecrits sur la consécration de Saint-Denis la conviction ferme de ses contemporains selon laquelle la lumière du jour associée aux chefs-duvre de verre nest que les signes imparfaits de la sagesse divine. Cet attrait pour lanagogie moins la recherche de Dieu est palpable chez Laure Molina. En effet, ses créations sont des appels à une authentique vie intérieure comme étrangère aux tracas du quotidien. Chris Pillot répond autrement au thème proposé. Habile coloriste, elle a peu à peu abandonné sa passion dantan pour peindre différemment. Ses premières uvres (Branches 1 ; Branches 2) demeurent tributaires de sa pratique passée. Elles se distinguent par une absence despace, une schématisation consciente des arbres, des couleurs franches posées en à-plat et, enfin, la présence du coulis grisâtre- évoquant davantage la glaçure du potier que la technique révolutionnaire (« dripping ») instaurée par lAméricain Jackson Pollock (1912-1956). Ses uvres les plus récentes (Arbre ; Branches bleues) accréditent lidée de transition ; elle persiste dans la représentation bi-dimensionnelle des objets mais ses arbres aux troncs coupés et aux branches démesurément longues rompent avec les exigences du cadre. Le recours à lacrylique et au stylo bille amplifie lazur qui savère être la « griffe » de lartiste. Chris Pillot a incontestablement du talent, du tempérament à revendre mais elle doit trouver définitivement son style. Matrice Du 10 juin au 2 juillet 2011
75003 Paris Article - Le Parisis - 2017 - Exposition "Là où Naît la lumière"- Espace Corot
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